•  

     Et comment vont nos arbres préférés ?

     

    Ils sont nombreux en ville : il y a les marronniers de la sous préfecture et des rues de Lamourguier X Dugommier, le cerisier de la rue P.L Courrier, une vraie splendeur au printemps. Les jeunes sophoras du cours Mirabeau et leurs arbustes fleuris.

    Des arbres "remarquables" que comptait Pulcherrima,  le Magnolia du moulin du gua et les cèdres des jardins St Paul et Révolution ont disparu. Le saule pleureur de  la passerelle entre deux villes aussi. Et les 27 platanes des Barques. Et les buis du jardin des Archevêques, parce qu'on a pas trouvé de vaccin pour les sauver. Mais bon il en reste plein d'autres. On les voit tous les jours, on les adore et on leur adresse un petit salut secret en passant. C'est ça l'amour.

    La photo est ancienne (2017) mais il était encore là hier. Sous l'œil de St Just et St Pasteur, face à a boutique de la cathédrale, Cupressus est toujours en odeur de sainteté. Sa fine cime se purifie de jour en jour ! Et ce n'est pas le frivole bambou qui rogne son image : bien au contraire, il n'en est que plus auguste.   

     

    Et comment vont nos arbres préférés ?

     

    Et comment vont nos arbres préférés ?

    Peignés, recoiffés, ratissés, les palmiers entre deux villes rutilent littéralement. Leur  troncs resplendit d'un ocre savoureux, c'est étonnant ! Qu'ils sont beaux. On apprécie ce geste d'amour des jardiniers. 

     

    Et comment vont nos arbres préférés ? Et comment vont nos arbres préférés ?

     

    Rue de la Monnaie, un précieux palmier caché qui crie coucou je suis là !, à chaque passage. Une lumière dans ces rues privées de vert.

     

    Et comment vont nos arbres préférés ?

     

    Le discret magnolia de la médiathèque s'épanouit avec bonheur, apportant non seulement une touche exotique à ce verre et bois culturel mais aussi une belle sérénité à ce coin de la bibliothèque. Une belle idée, la meilleure de la construction.

     

    Et comment vont nos arbres préférés ?

      

    En déambulant dans le quartier de Bourg où les maisons se serrent amoureusement les unes contre les autres, on débouche sur l'Oasis créée par le Mélia de la place Nadi. Non mais quel charme !

    Et comment vont nos arbres préférés ?

    Le Yucca, pauvre petit mexicain décharné et transplanté du cloître aux berges de la Robine a tout l'air de dépérir. C'est qu'il n'est plus aussi abrité maintenant , sans compter qu'on a du lui couper quelques branches pour faciliter le transport.  On espère que ce n'est qu'une petite grippe passagère et qu'il s'étoffera. Va t'il fleurir cette année ? Tiens bon mon yucca  !!! 

    Et comment vont nos arbres préférés ? Et comment vont nos arbres préférés ?

    Le métasequoia poursuit son petit bonhomme de chemin. Malgré une taille un peu barbare côté droit, il a toujours fière allure. On y voit déjà des bourgeons . This so great Gastby !

    Et comment vont nos arbres préférés ?

    Et voici 2 de nos oliviers baladeurs, cette fois ci au pied du monument aux morts. A croire qu’ils se déplacent la nuit. Ou alors ils se multiplient. Tantôt décoration mobile, tantôt illusoire protection contre les voitures islamiques terroristes. Arbres de la paix, ils semblent être partis en croisade dans toute la ville.  

    Et comment vont nos arbres préférés ?

    Olivier toujours, mais possédant une résidence fixe, celui ci confère un charme d'antan à cette demi place en ignorant courtoisement les tas de ferraille qui déparent la rue. Plus vieux, donc plus sage.

    Et comment vont nos arbres préférés ?

    L'arbre des pagodes et le tilleul qui, par-dessus mais aussi par-dessous la Robine se font face, poursuivent leur dialogue enchanté. Ils ont d'ailleurs la ferme intention de vous parler d'eux un de ces jours. De longévité, de beauté et d'amitié aussi.

     

    Et comment vont nos arbres préférés ? Et comment vont nos arbres préférés ?

    Et comment vont nos arbres préférés ?

    Quant aux platanes, ah les platanes, il semble bien qu’en définitive, ils résistent vaillamment au chancre coloré même si l'hiver ils ont l'air bien osseux. Le platane, arbre des villes du sud ?

    Et comment vont nos arbres préférés ?

    Après les mini palmiers, les grenadiers, voici les torsades résineuses et les lauriers sauce (miam) pour animer la rue Jean Jaurès. On admire la constance des jardiniers qui malgré l'assassinat régulier de ces plantes par les vandales, continuent à tenter de végétaliser cette rue sans arbre. (ça fait un peu logo pharmaceutique non ?)

    Et comment vont nos arbres préférés ?

     

    A part ça, ça va….Et s’il y a des arbres remarquables dans Pulcherrima, dites le, criez le, mais aussi, adoptez* en (en secret) et  aimez les. On se sent riches d'avoir de si beaux amis.  

     

     

    * adopter, pas épouser.


  • S4 : un épisode au hasard

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Savez vous que les conseils municipaux continuent à se dérouler régulièrement ? La planète s'embrase, le soleil se lève et va se recoucher épuisé, la pluie tombe rageusement, des quartiers entiers sombrent en pays étrangers, mais,  mais, mais le cm continue à ronronner, gage de stabilité municipale, testée par les revolvers gitans, les feux de voiture de l'ouest, les caméras de surveillance défaillantes ou défaillies. C'est rassurant. Un peu, beaucoup, pas du tout ?

    Ce soir donc, voici le 35ème conseil municipal depuis les élections de 2014 où l'on parlera de sous, d'eau, de multimodale, d'école, de musée.

    On démarre sur les chapeaux de roue, 4 roues indépendants les unes des autres et on part dans tous les sens, juste avant de valider le rapport du cm précéden,t par un sujet qui n’est pas l’ordre du jour. L’aspirateur, dont on apprend, incidemment que les panneaux solaires qui recouvrent une partie du toit rapportent 30 000€/an à la ville. La Ste opposition déplore la disparition des expos, le coût total de la transformation en commissariat de police municipale (2M€dont 130 000€ pour les études préalables), la disparition d’un musée, la désacculturation de la population, espère que le maire reviendra sur cette décision « incongrue », etc... 

     

     Skoda à l'aspirateur, août 2016 : pas un chat !

    Réponse de la majorité : l’aspirateur n’est pas un musée. On optimise la ressource immobilière. L’art contemporain c’est compliqué, les gens n’y comprennent rien, on est obligé de le démystifier ( ?!) il est dans la rue d’ailleurs, etc…

    Horreur : le nom d’Athina Ioannou a encore été prononcé.

    Un peu d’ambiance ?

     

    Qu’as-tu fait jacques pour l’art contemporain ? - Ça ne m’intéresse pas, on se tourne vers l’avenir… - Oui mais qu’as-tu fais pour l’art contemporain – ça ne m’intéresse pas les polémiques, Je voudrais – ça fait dix ans tu n’as rien fait pour l’art contemporain, - non mais je voudrais parler de l’espace liberté, on est en train de travailler, peut être que vous ne le savez pas… - Siiii ! – en arrière plan on entend s’égosiller Ortiz : le musée d’art contemporain, la biennale… Et un peu Penet, inaudible. Dis le moi, ce que tu as fait pour l’art S4 : un épisode au hasard contemporain… - on est en train de parler de l’aspirateur on n’a rien fait - nos services sont en train de travailler sur des échanges de terrain, le parvis du théâtre.-  ça n’a rien à voir avec l’art contemporain ! Oui mais nous devons travailler ensemble dans l’intérêt de nos abonnés ( ?) - tu viens de te réveiller ,et tu dis maintenant que nous devons travailler ensemble,   La statue qui était à l’espace liberté, qu’en as-tu fait ? - Ortiz : mais le musée d’art contemporain -mais c’est pas un musée, c’est pas un musée, mais prenez le micro – mais laissez parler les gens – ortiz hurle toujours, - marc ortiz  calmez vous ! Prenez le micro, j’ignorais que l’art contemporain vous mettait dans un état pareil – mais vous ne laissez pas parlez les gens. Etc, etc, etc…

     

    Narbona Pulcherrima, qui regrette bien de ne pas pouvoir mettre ces échanges audios hilarants en ligne et  à qui on ne demande rien : ne me faites pas rigoler ! En attendant « le flot de visiteurs » qui se déversera au Muréna Narbo Via, en matière d’art contemporain, ceux qui s’y intéressent un peu ont arpenté l’aspirateur bien des fois ( à toutes les expositions) et plus d’une par exposition sans jamais croiser plus de 5 ou 6 visiteurs. C’est peut être triste mais c’est comme ça. C’est Carrefour qu’il faudrait ériger en lieu d’art contemporain. Et sur les propos tenus ce soir , il serait bon de commenter plus longuement la conception de l’art vu des deux côtés. Plus tard peut être.

    Durée de cette discussion quasi hystérique  : 30 minutes ! 

    S4 : un épisode au hasard On apprend entre autre art contemporain qu'une convention sera signée avec le GN qui verra la mise à disposition d'un mur qui servira a réaliser  du street art éphémère cet été dans le cadre des animations et évènements. Cool !! Parmi tous nos nouveaux petits migrants, il s’y trouvera bien un Basquiat pour faire la renommée de la ville ! 

    Las, on revient à l’ordre du jour

     

    Des sous ou le débat d’orientation budgétaire. Pour débattre ça a débattu. Guerroyé. Ferraillé. Insulté. C’est Bertrand Malquier, 1er adjoint,  qui a présenté les chiffres du budger, et Ortiz a posé des questions auxquelles il n’a pas eu de réponse. Il fut découvert qu’un document manquait, ce qui n’est pas conforme à la loi, d’où une longue discussion sur les délais de transmission des documents avant le conseil municipal.

    Résumé : il y a des sous à dépenser, des économies ont été réalisées, des dettes se résorbent tout doucement, et des emprunt sont certainement en cours d’engagement. La ville s’est mise sous tutelle de l’état en s’engageant à ne pas dépasser un certain seuil pour les dépenses de fonctionnement. Pas plus de 1,2% par an. Tout ça sera dans le journal, et en mairie, où vous pouvez demander le programme. Vous savez, vous qui lisez ce blog depuis le début qu’au-delà de 1000€ …

    Je vous passe les batailles de zizi du genre :  Ortiz : tu comprends rien ou quoi ? Malquier : tu es insultant là.

    C’était la troisième délibération à 1h40 du début du conseil

    Nous n’y avons rien compris. Une histoire de sophistes qu’on sait pas ce que ça veut dire sophiste. Nous sommes tout seul pour gérer nos 900 € de revenus mensuel. Sans sophiste ! L’opposition vote contre.

      

    Racing toujours fauché ? La délibération portant sur l’attribution d’une subvention exceptionnelle est supprimée. Le maire annonce qu’ une commission du racing, en réunion au même moment, vote une demande, ou un accord de subvention de 50 000€, ce qu’il nie formellement. Mystère.

     

    Multimodale : Il s’agit de bien comprendre les tenants et les aboutissants. On en parlera plus tard, à froid. Peut être. Les discours structurés et brillants, qu’ils viennent (surtout) de l’opposition, ou de la majorité, peuvent être vides et trompeurs. Le maire a décidé : nous ne répondrons pas à vos questions ( qui ont apparemment lieu en amont, lors de commissions). Qu’elles soient nôtres ou pas, les questions n’auront pas de réponse ce soir. Dispute entre maître Mouly et maître Yang, toujours faux découvreur de dossier face au public.

     

    La délibération 17, sur un avenant à la zac des collines de réveillon, se révèle liée à une création possible de 3 classes d’école. Tiens tiens ! Adrados monte au front. Nous ne nous y attarderons pas mais nous apprenons avec intérêt qu’il faut 4 à 5 ans pour que l’état français valide une demande de création d’école. Ce qui signifie que le projet d’école de Montplaisir acté au conseil municipal d’ octobre ou novembre 2013 aurait pu être accepté, ou refusé (vu l’emplacement en plus) cette année. Plus, en cas d’acceptation, d’ une année d’études, de concours d’obtention de marché public, de découvertes archéologiques,  etc..(2019). Il n’y a donc pas d’école. L’opposition s’abstient sur ce vote.

       

    S4 : un épisode au hasard

     

    L'eau : La compétence Gemapi, (Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations) passe de la commune à l’intercommunalité qui, d’après la ste opposition et si j’ai bien compris, permettra au Grand narbonne (sans Narbonne) de verser 390 000€ à la ville. Le Grand Narbonne qui a choisi la fiscalisation (what else) lors du dernier conseil communautaire, pourra financer les syndicats des eaux, chargés de :

    • Laisser plus d'espace à la rivière,
    • Ralentir les écoulements de la rivière,
    • Gérer l'eau par bassin versant.

      Là on songe aux Elfes de l’eau. Ou à Terry Prachett.  Si seulement ! Vote pour à l’unanimité

     

    S4 : un épisode au hasard

    Un projet oenotouristique au Capitoul  emporte l’adhésion générale. Du luxe pour dynamiser le tourisme. Pour les curieux, voir  ICI

    La révision de la carte scolaire est présentée clairement et professionnellement par Mr Alvarez. On apprécie cet élu qui s’intéresse à ses dossiers, en parle de façon calme, posée et nous fait participer à un réel effort de construction. Après tout, c’est un professeur dans la vie civile et qui gère une délégation plutôt sympa. En bref, une cantine dans chaque école pour éviter tous ces transports de gosses en bus à l’heure du déjeuner, des fusions de carte scolaires, des répartitions d’enfants au mieux.

     

     S4 : un épisode au hasard

     

    Allons directement au musée, présenté par le maire comme le musée des Archevêques de Narbonne (j’ignorais ce nom ) qui était le dernier point, et devait être le plus intéressant. Présenté en accéléré, en 2 minutes, (il est 21h) il est annoncé une fusion (administrative) du musée d’art et d’histoire avec le musée archéologique avec : déplacement des collections antiques au Muréna Narbo Via, parcours de visite différents, (repenser l’offre de visite actuelle) structuration en département précis ( !), pas vague, retrait d’une des appellations « musée de France »,  transformation en Palais Musée de Narbonne des Archevêques de Narbonne « nous revenons  dit le chargé de la culture, à l’origine des musées de Narbonne) , compréhension de l’architecture des lieux via un parcours scientifique.  C’est donc le moment d’aller voir et revoir et re-revoir les lieux que nous aimons avant repensée de l’offre de visite actuelle.

    Unanimité.

     

    Ce soir on a eu droit à un spectacle magnifique mais un peu schizophrène, un débat extrêmement agité, une série de disputes et de provocations de vieux couples , de règlements de compte sur ce qui fut et ne fut pas fait dans le passé, des tas de comparaisons avec le grand Narbonne et son fonctionnement, des élus survoltés, - la faute peut être aux bonbons (à la cocaine ? )qui ont circulé parmi les élus durant tout le conseil, une absence prolongée et suspecte de Didier Mouly et de la Ste Oppo dans la petite salle à l’arrière, mais revenus sans nez cassé ou œil au beurre noir, rien, le rire suraigu et inquiétant d’une élue de l’opposition, des questions sans réponse et des réponses sans question, des fanfaronnades, du rire et de la colère. Ni du Shakespeare, ni du Molière, ni même du Coluche, mais du dramatique, du pathétique de pathos, du un peu bâclé, comme ce billet, certainement.

    Ainsi vont les choses dans Narbona la Onrada, Narbonne l'Honnête, bonne ville dont les fils perdent un peu la tête. Le pouvoir, vous savez…

     

     


  •    
     
    30° le midi  
      
    C’est le moment de prendre un billet pour de chauds rivages, exotiques, parfumés et lointains. Il faut, quand on s’envole pour d’autres cieux, savoir voyager et être attentif à ses sensations.   Patauger pieds nus sous la pluie de la Thaïlande, boire un café vanille à Madagascar ou à la Réunion, respirer l’odeur de la feuille froissée du bananier ou du manguier, et en saison, trekker au Népal, carrément, pour oublier un peu l’hiver !

    C’est au Mallicolo qu’on atterrit, « une adresse au bout de la rue pour une cuisine du bout du monde ». Promesse magnifiquement tenue !

    A Madagascar, la purée de patates douces parfumée à la vanille locale, et le carry de poulet coco démontrent sans conteste que vous êtes vraiment parti : les épices se déclinent poliment une à une, défilent sur le rose tapis de la langue, se croisent en fusionnant délicatement. La douce force du piment, la finesse du carry, le velouté profond du lait de coco ménagent, tout en le ravissant, le palais.

    Au Mexique, l’enchilada façon chili (mais proposée aussi aux légumes pour les végétariens) dont le bœuf à le goût d’une viande braisée au feu de bois – on ne sait comment- est accompagnée d’un guacamole qui se fait méditerranéen avec son poivron rouge. Simplicité de plat populaire.

    En Thaïlande, les crevettes osent les couleurs du Népal, et dans l’assiette le tartare d’ananas au piment et à la cannelle qui accompagne la viande est tout aussi surprenant qu’un lever de lune sur la mer d’Asie en plein Narbonne. Et si la banane verte s’en mêle aussitôt, c'est pour nous rappeler que le légume terrestre a toutes les couleurs du monde. 30° le midi

    Car Éric, élève émérite de l’école du monde, passionné de cuisine et de voyages, profite de ses séjours pour farfouiller dans les cuisines des hôtels ou de l’habitant, apprendre de nouvelles saveurs et nous ramener d’authentiques recettes d’autochtones et d’ailleurs.

    Les desserts sont l’affaire de Nathalie. Classiques comme le moelleux au chocolat ou crumble aux pommes mais aussi inédits comme le  le must, la verrine d'orange.  Et que fait la crème chantilly dans une verrine d’oranges ? N’est- ce pas trop ? Que nenni : érotiquement fouettée, elle relève le goût des petits morceaux d’orange pelés qui ont doucement confit dans l’eau de fleur d’oranger pour en faire une douceur aérienne, garante d’une digestion impeccable. C'est un dessert vraiment magique, à déguster seul, en égoïste !

    Un sans-faute culinaire, quotidiennement renouvelé pour le plus grand plaisir  des narbonnais et qui se célèbre par ce fabuleux support nommé « bouche à oreilles ». C’est une cuisine poétique. Aventurière. Osée. Et malgré les épices, - le piment oiseau du Laos  n’est là que pour la couleur, à moins que vous ne soyez téméraire - , ou plutôt à cause d’elles, toujours douces en bouche. C’est bon, c’est bon, et c’est super bon.

    Prix du voyage, 15€, ou 20 € environ verre de vin (bien sûr) compris.

    On est tout étonné en sortant de redécouvrir qu’il ne fait que 10 degrés dans une rue sans palmier, hormis ceux du Mallicolo, sans ondée tropicale, sans couleurs exotiques. Quel choc !

     

    30° le midi 30° le midi 30° le midi

    30° le midi 30° le midi 30° le midi

    30° le midi 30° le midi 30° le midi

     

    Le Mallicolo - 4 rue de l’Ancien Courrier  - 04 68 49 78 99 - du lundi au samedi.

    Ouvert le soir sur réservation pour vos dîners privés. Une table à réserver impérativement, sinon vous devrez vous contenter pour déjeuner d’un triste sandwich. Ce serait dommage non ?