• J'ai défilé dans une manif

    Les inévitables défilés 

     

    2500 manifestants, 2000 photographes ! dont le taiwanais qui se demande ce qu'il fait là. 2000 manifestants, 1500 photographes et ce 21 août, 6ème manif du début de l'automne, à peine un petit millier, et beaucoup moins de photographes !  Peut être un peu moins à vue d'œil. Mais l'essentiel c'est de dire non à la ségrégation, au contrôle perpétuel, aux menaces de toutes sortes qui ne ralentiront jamais le virus. 

    C'est le karma du peuple que de manifester, à tenter de faire entendre sa voix à des sourds, des malentendants et des malfaisants, siècle après siècle... alors voilà, face à la menace du "nul ne pourra acheter ni vendre ni travailler ni être salarié, etc..." s'il n'a pas la marque, les peuples se lèvent en masse pour dire non à ce qui n'est que le prélude du royaume de Sauron.

     

    Lors d'un défilé il y a ceux qui défilent et chantent, et hurlent des slogans.[...] Enfants, adolescents, jeunes moins et jeune et vieux et très vieux ont compris l'enjeu. Les médias nous parlent d'anti-vaxx d'extrême droite, d'antisémites, (mais où vont-ils chercher tout ça ?), les ministres parlent de faire une "vie de merde" aux non vaccinés, (voyez les Antilles ou sévit en ce moment une épidémie de dengue et où 75% ne sont pas vaccinés : confinés, punis, non soignés ! ), la moitié du peuple crache sur les anti pass, et les anti pass euh, crachent aussi... ! 

    Quel désordre ! N'empêche : 

    J'ai défilé dans une manif

    J'ai défilé dans une manif

    J'ai défilé dans une manif

    J'ai défilé dans une manif

     

    [...] et ceux qui regardent passer le défilé en faisant des photos souvenirs, tout en étant de tout cœur avec les manifestants. (peut-être !)

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      J'ai défilé dans une manif

     

    L'inévitable (?) indignité 

     

    Arrivé devant la médiathèque le cortège s'arrête sur le parvis et au bout d'un instant un meneur propose d'investir les lieux. Las, la porte est fermée bien sûr ! Et à ce moment, un indigne "collabos, collabos collabos" lancé par le même meneur retentit sous le parvis. 

    Quelle tristesse. Et quelle bassesse. Ces gens se plient aux règles imposées pour conserver leur travail, nourrir leurs enfants, et payer leurs factures. Y pensez- vous ? Allez vous nier la peur inculquée depuis un an ? Savez vous combien d'entre eux se sont fait vacciner à contrecœur, en pleurant, pour garder leur job ?

    J'ai défilé dans une manif

    Comment osez vous les traiter de collabos ?  Et que ferez-vous demain ? Irez vous tondre les femmes qui brandissent leur pass sanitaire à l'entrée des lieux culturels ? C'était pourtant le lieu idéal pour reprendre le "tous ensemble tous ensemble", surtout si 800 m plus loin face au commissariat, vous osez crier " la police avec nous". Croyez vous vraiment que la police sera avec vous ? Qui sont les collabos ici ? Ceux qui matraqués par la propagande sanitaire, effrayés par les menaces sur leur vie professionnelle et sociale contrôlent l'état sanitaire des lecteurs (sale boulot imposé par un sale gouvernement), où ceux qui relayant les propos de haine du gouvernement en allant insulter leurs voisins narbonnais, voisins qui aimeraient peut-être mieux manifester à visage découvert au lieu d'étouffer sous un masque 7h/jour ?

    Le combat est noble et légitime. Et tous ne peuvent résister en même temps. Il serait bon de savoir qui on vise par des mots pareils et quelle lutte on mène. Il faudrait aussi virer ce meneur (et voilà, la violence me gagne ! Au secours ! )  

    Pour cet inqualifiable moment face à la médiathèque, je l'écris : honte à ceux qui ont crié Collabos ! HONTE ! 

    Inévitable week-end ! 

    Il est temps de laisser le pavé se remettre d'avoir été battu et de se rappeler qu'aujourd'hui c'est sabbat, 7ème jour de la semaine, jour de repos de Dieu. En tant qu'enfant de la divinité moi même, je vais m'offrir une sieste et vous souhaiter à tous un bon week-end. Haut les cœurs ! Le pass ne passera pas, car vaccinés ou pas, on n'en veut pas ! 

      


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    Ségrégationnistes

    Trois Ségrégationnistes ordinairesTrois Ségrégationnistes ordinairesTrois Ségrégationnistes ordinaires 

    Pour une nouvelle partition humaine ; pour le confinement en guise de punition ; pour la destruction des emplois ; pour la division sociale ; pour le désespoir des uns et la colère des autres ; pour l'imbécillisation et l'infantilisation générales ; pour leur propre augmentation de train de vie mais pour la suppression des salaires en cas de non pour les autres ; pour la dramatisation de la situation, pour une ambiance mortifère durable ; pour rien de bon et tout de mauvais, 3 députés de l'Aude ont dit : OUI, on est d'accord.

    On ne les félicite pas ...

      

    Trois Ségrégationnistes ordinaires

     

     Sources : clic sur image :  1 FR3 - 2  Assemblée Nationale -3 LCI - 4  Facebook

     


  •   Vu en ville

    Vu depuis un certain temps déjà : vendre à l'américaine. Bien entendu, avoir une bonne bouille ça peut aider. Alors iadfrance, pour le nounours abandonné, y a t-il une chance d'être relogé ?

     vu, pas vu

    Par ces temps de canicule, il vaut mieux travailler à l'ombre, c'est plus prudent. Avec le son de la cascade Robinienne, ce doit être le nirvana ! Et celui -là, trop fatigué pour aller plus loin s'est endormi sous un immense platane, protégé par les regards de tous. 

    Vu en ville

     

    Vu en ville

    Mais c'est pas vrai, elle est revenue ! On croyait qu'elle était morte. La pieuvre persiste et signe, ajoutant à l'ambiance générale une petite dose d'angoisse supplémentaire. C'est presque du ton sur ton mental ! (on dirait un gros coronavirus)

    Vu en ville

     Cela, c'était le projet, mais réaliser ses rêves est le privilèges des milliardaires en cours... 

     vu, pas vu

    Dans la vraie vie, les étoiles s'éteignent les unes après les autres avec tristesse. Et ce ne sont pas nos politiques locaux qui les rallumeront. Comme l'Afrique du Sud de l'apartheid, la Palestine d'Israël et ses checks-points, l'occupation de la seconde guerre mondiale, le passeport intérieur ou laisser passer ou passe sanitaire est en cours d exécution. En France ! A la médiathèque il faut montrer son pass, sa carte d'identité avant sa carte de lecteur. Et ensuite, l'analyse du fond d'œil, le scan corporel intégral avec prise de température, les chiens renifleurs ?

    Pourtant, étrange occurrence, beaucoup se sentent rassurés.  RA- SSU - RES.

     Vu en ville

    Et voici, un peu plus nombreux que la dernière fois, les désormais dénommés anti-vax, les fachos d’extrême-droite, les traîtres à la nation, les psychopathes dans ce monde nouveau  où la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’humanité c’est l’animalité muselée, marquée sur le front et sur la main, la pensée critique c’est le crime, foi de médias, foi de virus, foi de labos...

    Cette semaine, beaucoup sont allés se faire "soigner" en pleurant de frustration et de désespoir... Le "yapalechoix" est à l'œuvre. Tout est si bizarre.

    Vu en ville

    Et voici, bien plus nombreux que la dernière fois les hommes et les femmes libres, les Français de France que le monde observe avec attention, les Résistants qui ne se laisseront pas réduire à la bêtise, à la méchanceté, à l’esclavage programmé, les combattants de la liberté, l’humanité pleine de ferveur et de foi en l'avenir, foi d’humain, foi glorieuse.

     

    Plus loin... 

     Vu en ville

    Au pied de la Cathédrale, les prières des artistes s'adressent directement à nos regards et nous rappellent que nous sommes aussi des êtres créateurs.  Voici les volatiles presque immatériels, peut-être archi-épiscopaux  d'Alexia Carmona qui révèlent la pierre et l'espace environnants,  et dans le jardin voisin, Serge Griggio a délicatement posé des tas de cailloux, constructions denses et structurées, cairns épars balisant la pelouse vicomtale, évoquant des édifices disparus avec les vicomtes narbonnais. 

     Vu en ville

    Et pour fini, la beauté des mariages mixtes, et le déploiement d'un fier individu nommé Plumbago auriculata.

     Vu en ville

    Vu en ville

     

     C'est l'été, youpi ! 

     

     





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