•  

    Tenir le coup, quand courent les assassins

      

     

     

     

     


  •  

     

     

     

     

     

    Noël parti, êtes-vous prêtes ?

    On oublie chagrins et défaites

     Une chiquenaude aux troubles fêtes

     Voici ce que je vous souhaite :

     Écrire mille chansonnettes,

     Lire puis faire des claquettes

     Attraper des girouettes et

     Nouer des rubans à 2017

     Rosie

       

    Notre président est obsolète

    Oublions ses galipettes,

    Une deux trois quatre midinettes

    Vélo scooter ou brouette

    Elles l’attendaient ses nymphettes

     Lovées dans un lit en turbulette

    Ah nous n’aurons pas Juppé et sa jupette

    Nous aurons peut-être une nouvelle tête

     Que nous réserve mai 2017 ?

     Yvette

     Les voeux des Lindas Plumas

     

     

     

     

     

     

    Nous laissons derrière nous une année tristounette

    On attend de celle-ci qu’elle soit plus guillerette

     Une année de fête sans prise de tête

     Vraiment une année des plus chouettes

     Entre rires, écriture et pourquoi pas, galipettes :

     Las ! Les premières news déjà m’inquiètent

     Alors qu’allons nous lire d’autre dans les gazettes

     Nous voilà bel et bien embarqués dans l’aventure 2017

     Marie Christine

     

    Non, la vie n’est pas tristounette  

    Oubliez vos soucis soyez pompette

    Un bon vivant c’est chouette

    Valsez, dansez au bal musette

    Embrassez vous, faites la fête

    La vie est courte, saperlipopette

    Adieu pessimistes et trouble fêtes

    Nouvelle année, nouvelles têtes

     (Yvette la prolifiquette)

     

     Les voeux des Lindas Plumas


  •  

    2017. Une de plus. Ou quelques jours d’une de plus. Voici, après 17 et 1017, 2017, un autre fragment de temps tiré de l’éternité, qui nous est accordé, gratuitement, sans raison autre que la vie.

    Le temps est-il la vie, la vie est-elle la mesure du temps ?

    Une fois de plus nous allons nous consacrer à la routine, bâtir des projets, occuper la  durée pour tenter d’en sortir en la vivant intensément, vivement, seconde après seconde, puisque le présent est le seul instant qui nous appartient. Voilà un exercice bien difficile que, comme chaque année, nous esquiverons aisément, créatures légères que nous sommes, sans même y penser. Pour beaucoup donc, nous demeurerons dans le mystère du temps, prisonniers de nos habitudes, nos croyances, notre vision unipersonnelle, bref, prisonniers du temps ! Le temps, peut-être, de faire un peu mieux…

    Bonne Année quand même, et surtout, que la sérénité soit avec nous ! Ça nous changera de la santé.

     

     

    Image : auteur non identifié - couverture du livre carnet de famille, Henry James





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique