•  Y étiez vous ?

      

      

      

        La couleur de l'émotion

     

      

    Vous étiez prévenus, vous êtes venus nombreux. Et vous avez eu raison car cette grise journée de samedi s'est terminée sur un lumineux moment de grâce, de sons et de joie. Un moment extraordinaire, d'après vous tous. Enivrant, suave, comme Carmela. Les timides se sont épanouis comme des fleurs, les exubérants se sont assagis et les petits enfants se sont trémoussés avec ferveur sous l'influence du chant de Carmela.

     

    Y étiez vous ?

    Sa voix tantôt rauque et tendre, tantôt sauvage, passionnée, se fait chef d'orchestre, conduisant les musiciens à la conquête, à la capture du cœur du public. Nous goûtons alors pleinement à la délicieuse interprétation du sublimissime « moliendo café », des besos à se pâmer, (mucho mucho), au cheminement du Chan chan, à la complicité des musiciens qui passent librement du latin lover au latin brûlant et déchaîné, en passant par le Jazz, preuve de muy muy y perfecto bueno social club.

    Pour vous un petit extrait sauvage, sans début ni fin, ni cadrage d'ailleurs, car la chaleur monte, et que l'appareil photo - cet étranger qui vient de Taïwan - a un peu bu, tangue tangue et est ému... Mais chut !!! Contentons nous de la vue du soleil qui brille juste au dessus de cette Diva.

     
    Et comme toujours des invités raffinés, discrets, heureux d'être là qui nous ont parlé de voyage, de perfection, d'apaisement, toutes choses ressenties durant le concert. Merci à Carmela Marie et à la divine Sandrine. (Non, ces mots ne sont pas de trop) pour ces instants où l'on ne ressent que de l'émerveillement. Des instants où ne sommes plus qu'êtres vivants, entités spirituelles, uniquement humains. C'est rare.

     Y étiez vous ?Y étiez vous ?

     

     

     

     

     

     

     

           Carmela, Sandrine : femmes ou fées ?

    Redirons nous où cela s'est passé ? Au Lindo café, un lieu dont on commence à se demander s'il est vraiment situé là où il a l'air de l'être. Ne réside t'il pas en réalité dans un univers enchanté ? Un univers très proche, mais très parallèle, un lieu où les choses se terminent sur la vie en rose ? Une enquête s'impose.

    Vous n'y étiez pas ? Pour vous rattraper, en plus pro :


  • Une perle rare

      

    Le 19 juillet, une perle rare se produit à Pulcherrima. Carmela Marie flirte avec la musique du monde,  réinterprétant sa magie. Tantôt Jazzy, tantôt Latine, la voix de cette Narbonnaise, qui à elle seule est déjà musique, nous transporte dans des lieux qui font rêver : Le Brésil et ses brûlantes passions, Paris et sa vie en rose, Cuba à la nonchalance sensuellement rythmée. Carmela est belle, chaleureuse, enjouée et talentueuse ; elle ressemble à ses chansons.

    Samedi à 20h, rue du 1er mai, au Lindo Café,  venez partager l'univers scintillant et mélodieux de cette envoûtante chanteuse .

      

      

      Une perle rare rien que pour vous

      Lindo café : 04 68 91 63 45

     


  • En attendant les invités...

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

     

       

     

     

      

      

        

    Naïma va bientôt apparaître....

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

      

      

      

      

      

      

     Un brûlant Simoun souffle au Lindo café ce soir : Naïma, accompagnée de Samir, vient nous offrir un cadeau de grand prix. Quelle ambiance ! Le djembé est si irrésistible que le public veut lui aussi faire la danse du ventre. Quant à la maîtresse des lieux, la divine Sandrine qu'on ne vous présente plus, la voilà qui, entre 2 assiettes, vire volte, vole la vedette à la danseuse, s'amuse follement. Et le service alors ?! La musique gronde, galope, le djembé lancinant vous fige vers les mouvements amples, élégants de Naïma qui, à la fois voluptueuse et joyeuse, s' amuse des regards, se dresse sur la pointe des pieds pour mieux ondoyer, avance, recule, tandis que tintent les sequins de sa jupe et que la température monte.

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

     

     

     

     

     

      

      

      

     Alors Sandrine, qui va nous servir à boire ?

      

      Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

     

     

     

      

      

      

     le sourire radieux de François Pancho et ses assiettes de tapas

     On songe alors, très très fugitivement, à celles qui ne peuvent plus danser, sinon en cachette, dans ces lieux où la mort guette sans cesse, pour les détruire, la joie, la musique, la vie en somme, et on revient très vite au présent car le bonheur est chose précieuse. Ici on peut danser librement, ici on peut mettre en scène la grâce et la beauté, on peut gratuitement faire vibrer autrui.

     L'ambiance est ce soir de celle que les invités, qu'ils soient habitués ou non savent créer pour se sentir « entre soi », s'offrant ainsi un moment dont on se rappellera avec plaisir, un peu comme le souvenir d'une fête de famille réussie. Quelques youyous se font entendre, discrets. Les flashs crépitent. A Pulcherrima aussi, nous savons apprécier nos stars. C'est ça, le Lindo café. Une croisette audoise, un festival permanent, une farandole de moments magiques. Vous voilà prévenus.

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     





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