• Y étiez vous ?

     Y étiez vous ?

      

      

      

        La couleur de l'émotion

     

      

    Vous étiez prévenus, vous êtes venus nombreux. Et vous avez eu raison car cette grise journée de samedi s'est terminée sur un lumineux moment de grâce, de sons et de joie. Un moment extraordinaire, d'après vous tous. Enivrant, suave, comme Carmela. Les timides se sont épanouis comme des fleurs, les exubérants se sont assagis et les petits enfants se sont trémoussés avec ferveur sous l'influence du chant de Carmela.

     

    Y étiez vous ?

    Sa voix tantôt rauque et tendre, tantôt sauvage, passionnée, se fait chef d'orchestre, conduisant les musiciens à la conquête, à la capture du cœur du public. Nous goûtons alors pleinement à la délicieuse interprétation du sublimissime « moliendo café », des besos à se pâmer, (mucho mucho), au cheminement du Chan chan, à la complicité des musiciens qui passent librement du latin lover au latin brûlant et déchaîné, en passant par le Jazz, preuve de muy muy y perfecto bueno social club.

    Pour vous un petit extrait sauvage, sans début ni fin, ni cadrage d'ailleurs, car la chaleur monte, et que l'appareil photo - cet étranger qui vient de Taïwan - a un peu bu, tangue tangue et est ému... Mais chut !!! Contentons nous de la vue du soleil qui brille juste au dessus de cette Diva.

     
    Et comme toujours des invités raffinés, discrets, heureux d'être là qui nous ont parlé de voyage, de perfection, d'apaisement, toutes choses ressenties durant le concert. Merci à Carmela Marie et à la divine Sandrine. (Non, ces mots ne sont pas de trop) pour ces instants où l'on ne ressent que de l'émerveillement. Des instants où ne sommes plus qu'êtres vivants, entités spirituelles, uniquement humains. C'est rare.

     Y étiez vous ?Y étiez vous ?

     

     

     

     

     

     

     

           Carmela, Sandrine : femmes ou fées ?

    Redirons nous où cela s'est passé ? Au Lindo café, un lieu dont on commence à se demander s'il est vraiment situé là où il a l'air de l'être. Ne réside t'il pas en réalité dans un univers enchanté ? Un univers très proche, mais très parallèle, un lieu où les choses se terminent sur la vie en rose ? Une enquête s'impose.

    Vous n'y étiez pas ? Pour vous rattraper, en plus pro :

    « C'est l'été, restons chez nous !Mythicum rocadum est »