Parité, égalité ? Hé oui !

Certaines (et aussi  quelques certains mais ceux là s'en fichent en réalité) s'inquiètent du «problème des femmes» qui ont été élues avec Didier Mouly. Seraient elles battues, martyrisées ? Y a t'il vraiment un «problème» ?

Les démissions au sein de l'équipe municipale font gloser anti et pro Mouly. En passant, on peut rappeler qu' une élue a démissionné pour cause de déménagement,  2 hommes ont aussi déserté les rangs et un troisième , qui aurait pu aussi s'en aller, continue à siéger parce que des électeurs ont voté pour lui et qu'il reste «droit dans ses bottes».

L'univers politique majoritairement masculin  est très violent. Les femmes y entrent par vocation ou ambition, s'ajustant à ce monde et y évoluant comme elles le veulent ou comme elles le peuvent. Elles ont donc toute aptitude à être opportunistes, déloyales, médiocres, brillantes, intelligentes, tout comme les hommes. C'est ainsi cela que fonctionne .

La parité, dont on peut , féministe ou pas, se demander si c'est réellement une bonne chose parce que l'on a pas trouvé mieux, - à ce jour il n'existe pas d' instance politique exclusivement féminine - s'exerce là de façon tout à fait sociale, et ce n'est parce que certaines démissionnent  qu'il faut supposer ou imaginer des maltraitances morales, ou physiques  !  Pas d'inquiétudes ! Celles qui ont démissionné ne sont parties qu'avec elles mêmes : compétence ou incompétence, intelligence brillante ou nulle, elles n'apporteront rien de plus et rien de moins aux groupes qu'elles prétendent rallier.

Et tout comme les hommes, on peut noter, à quelques semaines de la fin du mandat qu'elles ont choisi, voulu,  leur manque d'élégance et leur capacité à aller pleurnicher dans la presse qui mène elle aussi sa campagne municipale. Cela ne leur réussira pas !