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Les roses de Jacques Bascou
2018 réussit beaucoup aux roses. Il y a des années comme ça, où certaines plantes, sans avoir fait régime, sont plus belles que l’an précedent et resplendissent d’une lumière inaccoutumée.
Et puisque celles du jardin des Archevêques ont disparu pour être remplacées par des plus neuves, des plus vigoureuses, on admire celles de la Robine, nombreuses, capiteuses, divinement parfaites, on s’enfouit dans leur blancheur et on va y fourrer le nez, parce que ça sent diablement bon.
Il est heureux qu’un socialiste ait réussi les roses… blanches.