Hé ho, vieux Joe !

 

 

 Et le monde fut débarrassé du tonitruant Donald Trump.

Quelle drôle d’histoire, une histoire à pleurer de rire si ce n’était si tragique. Après 2 tentatives, la troisième fut la bonne. Joe Biden fut enfin élu entre les 3 et 8 novembre 2020 avec 80 millions de voix malgré une campagne électorale des plus discrètes, mais fortement soutenue par la Presse.  Intronisé virtuellement en janvier en grandes pompes funèbres, sans public, sans ovations, sans rien, dans une ville barricadée, sécurisée par 25 000 militaires – à cause du traumatisme du 6 janvier où des centaines de personnes prirent d’assaut le Capitole – Biden intégra, tout brisé par les travaux,– une Maison Blanche transformée en bunker, entourée de grillages de 3 m de haut, donnant  des signes d’occupation très discrets.

Ce fut aussi le premier président à défiler muselé, entouré de gens muselés, offrant un spectacle de fin de monde. Le Covid 19,voyez vous.  

 

Ses actions

Malgré les nombreuses accusations de fraude électorale, presque toutes récusées par les cours de justice interpellées, Joe Biden est dans la place : Il travaille.

D’abord il détricote ce qui avait été mis en place par Trump. On ne dira rien du mur, car les murs (à part la muraille de Chine dont le but premier était là aussi la protection des frontières) sont faits pour tomber un jour. Le mur de Trump ne serait jamais classé à l’Unesco. Quant à l’interdiction des armes, on n’en dira rien non plus ; ce doit être culturel. Tout comme l’est, dixit Mr Président Joe Biden, le traitement des Ouighours par les Chinois. C’est culturel, on ne s’en mêle pas.

Biden marquera t-il son époque ?

En 60 jours il a :

• Réintégré les accords de Paris ( qui constituent une vaste blague environnementale dont les termes ne sont même pas respectés par la France) et l’OMS
• Bombardé la syrie, provoqué la Chine et la Russie
• Annoncé un programme de relance de 2000 milliards de dollars pour restructurer le pays et lutter pour le climat
• Lancé un programme de 1900 milliards de dollars pour lutter contre le covid 19 Distille brillamment l’émotion et comptabilise le nombre de morts du covid (rip all people) qui dépasserait celui de ceux tués lors de la première guerre mondiale + ceux de la 2^nd guerre mondiale + ceux du vietnam + ceux du 11 septembre 2001 + ceux de la guerre des mondes, etc… ;
• Diminué le montant de l'aide Covid promise par Trump aus ménages américains
• Arrêté la construction du mur c’est bien mais :  Ouvert les frontières et favorisé le trafic des passeurs, les violences sexuelles, les crimes divers au point que le 16 mars il lance un appel aux migrants en leur demandant de ne pas venir 

 

• Accueilli 3 fois plus d’enfants mineurs isolés provenant d’amérique latine et installés dans les mêmes cages si décriées sous l’ère Trump
• Lancé des attaques aériennes en Syrie
• Détruit des milliers d’emplois : arrêt de la construction d’un oléoduc , du mur. 
• Détruit le sport féminin en votant un décret qui autorise les transgenres masculins devenus féminins à concourir avec les femmes. (on remarquera que les femmes qui se transforment en hommes ne réclament rien de tel, pas folles !) 
• Décidé qu’il fallait réparer financièrement l’esclavage x dollars , incitant à une plus grande propagation de la peste Wokiste* qui enténèbre les sociétés jour après jour
• Parlé du covid et des vaccins
• Repoussé le remboursement des prêts étudiants
• Traqué les militaires qui penseraient « républicains »
• Discuté chaque week-end avec des américains moyens car plus proche du peuple
• laissé son chien mordre le personnel

Du bon boulot ! Les médias se pâment. Joe Biden serait le président qui non seulement a été élu avec le plus de voix dans toute l’histoire des USA, (80 millions) mais aussi le plus populaire. 

Très populaire

Joe l’endormi (sleepy Joe) populaire alors ? Vraiment ? Auprès des médias pro Biden, oui, il l’est. Si les compte twitter et facebook sont surtout suivis par des sympathisants, des démocrates, la chaine You tube de la maison Blanche, qui compte 1.9 millions d’abonnés  est surtout très prisée des Républicains. (En comparaison celle d’Obama en comptait 700 000, celle de Trump, déjà archivée par les archives nationales dès le 11 janvier 2021 n'en compte que  57 800 !)

Sur 10 vidéos prises entre janvier et mars, et vues par 451 812 personnes, 5 228 "j'aime" tentent de briller face à 35 643 "j'aime pas". You tube envisage d’ailleurs d’appliquer prochainement le masquage de ces « j’aime pas » pour n’afficher que les likes. Cela ira mieux sans doute. 

Et déjà , dans divers états, des gouverneurs s'opposent à certaines décisions, qui sur les migrants, qui sur les transgenres dans le sport féminin, qui sur l'obligation du port du masque...

 

25 mars : première conférence officielle du leader du monde occidental - 913 personnes ont aimé. (capture du 5/04/21)

Et puis pas menteur

Peut-on avoir confiance dans les projets de Joe Biden  pour l'Amérique ? Est-il sincère  ? Son prédécesseur, traité de menteur 4 ans durant par une presse acharnée totalise sur google +de 99 millions de résultats pour la recherche "Trump lies" ie Trump ment. en 2 mois Biden en totalise + de 68 millions. Encore un effort Joe, et tu pourras réveiller les Médias qui se languissent de l'ancien président ! 

 

  La coalition démocrate : un édifice fragile et instable

Beaucoup sont heureux d’avoir enfin un « couple normal » à la Maison Blanche ; qui ne tweete pas frénétiquement. Certains se sont étonnés de ce que le président n’ait toujours pas fait de conférence de presse ; ce qui change agréablement, parait-il, de son prédécesseur. Elle a finalement eu lieu le 25 mars, où il s’est débrouillé tant bien que mal, entre réponses préparées et fantaisies incohérentes, évoquant par exemple ses 120 ans au sénat ou son capital sympathie qui attire les migrants ! Entre temps il a fait plusieurs apparitions et déclarations sur la chaine You tube de la Maison Blanche. (passionnément suivies par les seuls Républicains ! !)

Beaucoup d’autres sont mécontents et le font savoir à l’aide du sigle Not my président. Quant au reste du monde, il s’inquiète de voir un homme apparemment faible diriger l’une des puissances planétaire.  Biden montre depuis des mois des signes de sénilité allègrement escamotés ou ignorés depuis sa campagne présidentielle, et il s’agit bien d’un président muselé.

Alors qui dirige l’Amérique en ce moment ? Kamala Harris, la vice présidente que dans un de ses moments d’absence  Joe Biden, appelle Président Harris ? Possible, c’est elle qui s’entretient par téléphone avec des chefs d’état mais qui fut pourtant écarté de la prise de décision de bombarder la Syrie ???

Nancy Pelosi (directrice du Congrès ) à qui, lors d’une mini conférence de presse , Joe biden demande : suis-je censé répondre aux questions, Nance ? Un consortium de Démocrates de l’ombre sous les ordres de Barak Obama ?

Les rumeurs n’excluent rien. Mais ce qui est certain c’est que le président le plus populaire des états unis est sénile, et cela se voit de jour en jour. On en a le cœur serré. Des journaux républicains vont jusqu’à parler de maltraitance de personne âgée ! Suggèrent qu’il pourrait être carrément remplacé par un hologramme https://thehill.com/opinion/white-house/542300-maybe-a-biden-hologram-can-handle-his-public-speeches) pour éviter les bourdes continuelles :  Il ne sait pas où il est, ne retient pas les infos qu’il est censé transmettre, signe des parapheurs tout blancs ; (le suprémacisme de papier) agite les mains vers une foule inexistante et fait ce qu’on lui dit de faire.

Le monde entier s’est moqué et/ou s’est ému de sa triple chute dans l’escalier de l’Air force one. Le pauvre. L’incident a été énormément relayée sur les réseaux sociaux, et inspiré toutes sortes de montages vidéos. 

Qu’est ce qui a changé pour l’Amérique ? Un millionnaire a remplacé un millionnaire, la chasse aux « racistes » est ouverte pendant qu'une crise migratoire s'installe durablement  à la frontière, les taxes augmentent ainsi que le prix des médicaments.  Les émeutes et attaques des blacks lives matter se poursuivent quotidiennement dans l’indifférence générale, Les Américains craignent plus que jamais le socialisme et ses ravages, les démocrates old fashion commencent à s’inquiéter des dérives du pouvoir et ceux du peuple ont déjà des regrets.

L’Amérique est de retour. Avec ses contradictions, ses névroses anciennes et nouvelles, stimulant une Europe et une Asie qui amassent des troupes sur tous les fronts, redoutant ou désirant de nouvelles flambées virilement guerrières 

Les militaires resteront à Washington DC jusqu’à la mi mai Et Biden, tantôt en forme, tantôt bredouillant et bavant, attendant que son marionnettiste l’anime à intervalles réguliers, règne sur une ville fantôme.

Le pauvre vieux, après une embolie pulmonaire, deux ruptures d’anévrisme  et des problèmes de coordination physique et mentale, qu’est il allé faire dans cette galère ? 

Dans quelques jours, la transition se fera probablement vers l'administration Harris, - Joe Biden va de plus en plus mal,  la rumeur du week-end parle d'une possible hospitalisation - et les Usa découvriront le bonheur d'être gérés par une Kamala Harris, revancharde et perpétuellement ricanante. 

Et bien sûr, déniant la réalité, il y a ceux qui rêvent encore d'un retour rapide de Donald Trump, jusqu'en Chine, où un sculpteur le présente comme le bouddha de la connaissance du paradis occidental ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour l'instant, Washington rayonne dans ce printemps renaissant, les grilles ont été ôtées, les rives du Potomac ont des allures de promenade dans un jardin japonais, qui verdira dans  un été qui sera probablement brûlant... Joe Biden sera-t-il encore de ce monde ?