• Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

    En attendant les invités...

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

     

       

     

     

      

      

        

    Naïma va bientôt apparaître....

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

      

      

      

      

      

      

     Un brûlant Simoun souffle au Lindo café ce soir : Naïma, accompagnée de Samir, vient nous offrir un cadeau de grand prix. Quelle ambiance ! Le djembé est si irrésistible que le public veut lui aussi faire la danse du ventre. Quant à la maîtresse des lieux, la divine Sandrine qu'on ne vous présente plus, la voilà qui, entre 2 assiettes, vire volte, vole la vedette à la danseuse, s'amuse follement. Et le service alors ?! La musique gronde, galope, le djembé lancinant vous fige vers les mouvements amples, élégants de Naïma qui, à la fois voluptueuse et joyeuse, s' amuse des regards, se dresse sur la pointe des pieds pour mieux ondoyer, avance, recule, tandis que tintent les sequins de sa jupe et que la température monte.

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

     

     

     

     

     

      

      

      

     Alors Sandrine, qui va nous servir à boire ?

      

      Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

     

     

     

      

      

      

     le sourire radieux de François Pancho et ses assiettes de tapas

     On songe alors, très très fugitivement, à celles qui ne peuvent plus danser, sinon en cachette, dans ces lieux où la mort guette sans cesse, pour les détruire, la joie, la musique, la vie en somme, et on revient très vite au présent car le bonheur est chose précieuse. Ici on peut danser librement, ici on peut mettre en scène la grâce et la beauté, on peut gratuitement faire vibrer autrui.

     L'ambiance est ce soir de celle que les invités, qu'ils soient habitués ou non savent créer pour se sentir « entre soi », s'offrant ainsi un moment dont on se rappellera avec plaisir, un peu comme le souvenir d'une fête de famille réussie. Quelques youyous se font entendre, discrets. Les flashs crépitent. A Pulcherrima aussi, nous savons apprécier nos stars. C'est ça, le Lindo café. Une croisette audoise, un festival permanent, une farandole de moments magiques. Vous voilà prévenus.

     Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

    Au feu ! Au feu ! Oriental brasier !

     

    « Hymne à la joie EuropéenneBercer son cerveau, se réconforter... »