• Ma ville, chic, cultivée

     La Poudrière abrite toujours des expos de courte durée. il n'est pourtant pas trop tard pour jeter un coup d’œil ce week end, aux objets exposés par des artistes et artisans d'art, qui participent aux journée européennes des métiers d'art. Les Karlingueuses, qui fabriquent des objets du futur y sont, Manon Damien, Myriam Hubert et Alexia Carmona aussi. Avec Ernest. Et si ce n'est lui, c'est donc son frère ! Sacs à main en cuir, bijoux, objets de décoration, la salle d'exposition est carrément chic !  Jusqu'au 2 avril, date à laquelle les quelques 17 exposants vous ouvriront leurs ateliers.

     

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    Plus d'infos à la Poudrière même.

     

    Ma ville, chic, cultivée  

    Cultivée dès le 6 avril  (vernissage le 5 à 18h30) avec une exposition du peintre et aquarelliste Gérard Kerlidou dans des Variations orientales.

    Yves Naz, du cercle des algérianistes, conférencier talentueux et bourré d'humour viendra, tel une cerise sur un gâteau parfaire l'expo avec une conférence sur l'orientalisme, conférence ou on ne baillera pas d'ennui, promis ! Et le mercredi 12 avril à 15 h, c'est Yves Barthes qui vient ajouter une touche en lecture et poésie (oui, il y a des gens qui adorent ça !)

    Une exposition bien entourée donc, jusqu'au 20 avril. A la Poudrière.

     

    Ma ville, chic, cultivée

     

    Photo Ernest : Alexia Carmona


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     Des buis, des oliviers...

     

    La pépinière est à l'abandon depuis quelques années déjà. Mais très surveillée. Le propriétaire des lieux veille, tondant l'herbe, taillant quelques arbres. On y vendait buis et oliviers il y a encore 10 ans, environ. Beaucoup sont restés là, survivants, résistant à la soif et à la désolation des serres. Certains sont à l'agonie, d'autres verdoient à qui mieux mieux. Telle est la force du végétal cultivé, puis abandonné. Il ne s'en remet qu'à  sa nature propre. Le contraste entre l'inanimé et le vivant est là, sous nos yeux étonnés.  C'est éblouissant. Juste éblouissant.

     

    Des buis, des oliviers...

      Des buis, des oliviers...

     Des buis, des oliviers...

     Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

     Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

    Des buis, des oliviers...

     Des buis, des oliviers...

     Des buis, des oliviers...

     


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    Thème 2017 : le moyen âge, période dont on se rappelle plus souvent les ténèbres que les lumières, époque qui colle furieusement à la nôtre. Obscurantisme et optimisme, peur du sarrasin, (le parcours a été raccourci) et allégresse,   mises au pilori, monstres, victimes de monstres, rien n’a changé.

    Mais aussi  le carnaval dans sa vraie fonction, exutoire pour évacuer ou souligner les tensions, expression ou message du peuple à ses dirigeants en toute liberté. Ces dames aux perruques vertes l’ont pratiqué à la Brésilienne, ou à l’Antillaise.

     

    Bon carnaval Yvette ! En voici 2, 3 photos... ratées. Tout un art ! 

     

     

     

    Le Carnaval d' Yvette

     

    Le Carnaval d' Yvette

    Le Carnaval d' Yvette

    Le Carnaval d' Yvette

     Le Carnaval d' Yvette

    Le Carnaval d' Yvette

    Le Carnaval d' Yvette

     

    Le Carnaval d' Yvette

     






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